Porté par des entretiens au long cours (Salomé Chatriot, Fred Forest, Julien Creuzet), des analyses critiques, philosophiques ou sociologiques, des immersions dans les studios d’artistes (Grégory Chatonsky, Joanie Lemercier) ou encore un long reportage d’une vingtaine de pages au Québec, La Revue se présente comme un observatoire annuel de l’art digital. Bonne nouvelle : le premier numéro sort le 23 mai !
À l’heure où l’art numérique connait de multiples ramifications, et trouve chaque jour un peu plus sa place dans les musées, les institutions culturelles, les festivals ou les galeries d’art, il est tout à fait excitant et nécessaire de lui consacrer sa première revue francophone, d’oser mettre des mots sur un art visuel, parfois dématérialisé. Un ana après le lancement de notre média, c’est là toute l’ambition de Fisheye Immersive La Revue.
Après avoir publié plus de 500 articles sur le site et envoyé 24 newsletters éditoriales, Fisheye Immersive étend donc aujourd’hui son champ d’expertise avec un magazine annuel bilingue (FR/EN) de 192 pages consacré aux tendances fortes des arts numériques (3D, IA, VR, NFT), en France et dans le monde. Avec notamment, pour ce premier numéro, à paraître le 23 mai prochain, une riche immersion d’une vingtaine de pages au sein de la scène artistique québécoise.
Passer en revue l’art digital
Disponible en précommande (19€ au lieu de 24€), ainsi que dans une quarantaine de librairies spécialisées (Palais de Tokyo, Centre Pompidou, Grand Palais immersif, Fondation Cartier, Artazat, Lafayette Anticipations, Fondation Louis Vuitton, YSL Bookshop, MEP, Actes Sud Arles, Friche de la Belle de Mai, Mucem…), ce premier numéro a été guidé par l’envie de mettre en lumière des artistes inspirants, créateurs d’œuvres numériques et immersives percutantes qui interrogent le public et nourrissent un nouveau chapitre de l’histoire de l’art : Salomé Chatriot, Joanie Lemercier, Julien Creuzet, le collectif Obvious, Rebecca Allen ou encore Grégory Chatonsky ont ainsi répondu présent, tandis que Mélanie Courtinat, Sara Sadik, Pierre Pauze et u2p050 décortiquent la conception de leur dernière création. Sans oublier Refik Anadol, qui profite d’une chronique « carte blanche » pour poser un regard réflexif sur l’IA.
Agrémenté d’un portfolio d’une quarantaine de pages (Valentin Ranger, Sara Dibiza, Oli Sorenson, Joeri Boelhouwer), Fisheye Immersive La Revue vise à défendre, disséquer et comprendre des œuvres qui habitent avec force les imaginaires contemporains ; donner la parole à des artistes, installés et émergents, qui véhiculent un propos ; concentrer une pluralité de regards et de voix – parfois contradictoires – qui parlent de notre temps, mais aussi du temps d’avant et de celui d’après. L’objectif : offrir à chacun l’opportunité d’envisager le monde autrement. Et ainsi d’élargir notre champ de vision.
Fisheye Immersive La Revue est disponible sur le Fisheye Store